La secte la plus puissante et méconnue de toute l'histoire humaine est celle qui a imposé la monnaie et le système financier
La secte

 
Un  sujet à la mode récupéré par des journalistes en mal de sujets où l’anecdote est grossie au point de cacher la réalité. Nous avons ici au Québec notre gourou maléfique que l’on ressort du placard de temps à autre pour divertir l’attention des lecteurs et auditeurs des médias au service de l’industrie. IL s’est fait nommé Moïse et aura entraîné plusieurs adeptes dans ce qui est devenu un cauchemar pour une bonne partie d’entre eux.  IL n’est pas le seul, d’autres liés à différents mouvements auront aussi de temps à autre entraînés leurs adeptes dans des souffrances, histoires qui ont été elles aussi récupérées et gonflées par les médias.   Si nous faisons la somme des victimes de ces supposés monstres, nous constatons qu’ils sont bien moins nombreux que les victimes d’une autre religion, qui, celle là , n’est pas considérée comme étant à la base d’un mouvement sectaire. Pourtant les victimes se comptent par milliards et la secte étend ses tentacules sur l’ensemble de la planète.
Cette religion se nomme le consumérisme et ses adeptes sont entraînés par des techniques de lavage de cerveau à consommer des objets et produits inutiles et surtout intoxicants pour eux et leur environnement. Vous rigolez ? vous ne prenez pas au sérieux ces affirmations ? C’est que vous êtes atteints, que votre jugement est conditionné par un lavage de cerveau qui dans plusieurs cas aura commencé durant l’enfance.

Prenons pour exemple une dépendance sérieuse aux drogues ou au jeu et comparons l’attitude de déni de la personne atteinte avec celle que vous avez face à la révélation de votre envoûtement, celui qui fait de vous un sectateur du consumérisme.  Cette personne, tout comme vous minimise son problème malgré que des personnes autour de lui tentent de le raisonner. IL doit souvent se rendre au bout de sa dépendance, tout au fond du baril pour finalement réaliser le tort qu’il se fait ainsi que la souffrance qu’il impose à ses proches. La prise de conscience par certains êtres lucides du  pouvoir de la secte, remonte très loin dans l’histoire humaine. Malgré des tentatives de la  contrer , elle n’a cessée de s’étendre jusqu’a englober une majorité d’humains sous son influence.



 
 
 

Le gigantisme et le spectaculaire des monuments et temples était et est encore de nos jours le moyen d'éblouir le peuple, d'évavcuer l'incapacité des gouvernements de livrer le minimum vital pour tous.

 

 
Voici ce qu’en dit Sanchoniaton, un Phénicien qui vécut sous Semiramis (reine Assyrienne) vingt siècles avant Jésus Christ “ Nos oreilles habituées dès nos premières années à entendre leurs récits mensongers, et nos esprits imbus de ces préjugés depuis des siècles, conservent comme un dépôt précieux des suppositions fabuleuses ainsi que je l’ai dit en commençant. Le temps étant encore venu de corroborer leur ouvrage, il a rendu cette usurpation presque imperturbable, en sorte de faire apparaître la vérité comme une extravagance et de donner à des récits adultérés la tournure de la vérité. “  La mythologie Perse parle d’un Dieu des ténèbres Ahriman qui se serait introduit dans les pensées du premier couple humain, Mashye et Mashyane qu’il trompa par le premier mensonge, leur suggérant que le monde avait été créé par un esprit du mal. Depuis, les hommes ont perdus toute orientation dans la vie.
Perdre  l’orientation dans la vie veut dire de perdre de vue le sens de la vie.
Le mythe juif et chrétien contiennent une histoire semblable, la mise en scène comprend un être rusé qui séduit Ève,(d’où est né Caïn) qui a son tour convainc  Adam de désobéir aux consignes de ne pas manger du fruit de l’arbre de la connaissance. Pour l’avoir fait, le couple originel à été chassé du jardin d’Eden.   Ce personnage est une personnification du diable et se nomme Samaël.  Une interprétation en lien avec le mythe Perse fait ressortir que dans les deux cas un lien s’est rompu entre la Terre mère et l’homme et que depuis ce temps il ère sans orientation. Cet  arbre de la connaissance est l’enseignement artificiel apparut avec les premières agglomérations importantes. Le meurtre d’Abel par Caïn, son demi frère, est la négation du principe féminin en même temps que le dénigrement de la nature et des êtres qui y vivent, qui depuis lors est allé en s’amplifiant.

 
 


 


Les grands empires du passé faisaient table rase des dieux et croyances des nations qu'ils envahissaient et soumettaient, les remplacant part leurs propres dieux et croyances, ceux qui  incluaient les dirigeants et officiants dans le panthéon des divinités. Nous réalisons que le modèle démocratique proposé par les grandes puissances acoquinées autour d'une organisation des nations, est souvent imposé, comme par le passé, cette fois par des montages financiers qui les obligent à y adhérer.


 

Nos valeurs démocratiques sont elles une facade qui cache une imposture mondiale ?
La ville, paradis ou enfer ?
Pourrions nous établir un lien entre le début des premières cités et l’apparition du mensonge ? Nous retrouvons une similitude entre le mythe Perse et Phénicien que relate Sanchoniaton, les traits communs étant la ruse et le mensonge qui sont utilisés pour tromper les homme  Que cette ruse et ces mensonges aient été nécessaire pour entraîner les premiers hommes à joindre les premières grandes agglomérations et de s’engager dans le système politique en place c’est très probable. IL est possible de voir, au sein de la nature, l’origine de la ruse et elle ne sert là qu’a se procurer des proies pour le prédateur qui l’utilise. L’homme est encore au fond de lui un animal et la ruse est plus ou moins présente dans ses relations avec les autres. Le mâle alpha n’utilise pas que la violence pour maintenir son pouvoir, il utilise la ruse en évoquant la possibilité qu’il pourrait être violent si ses grognements et mimiques ne suffisaient pas pour faire entendre raison à ceux qui remette en question sa position. Les méthodes du début, les guerres, les génocides, la violence et la torture, bien qu’encore  utilisés en certains endroits, ont été remplacé par un contrôle plus insidieux mais combien efficace, qui s’adresse au mental par l’intermédiaire de la technologie adaptée aux moyens de communications. Pour toutes études démontrant le caractère hypnotique de la propagande, des contre études endossés par des personnes influentes, grassement payées, disent le contraire. Devant une multitude de rapports contradictoires, le citoyen ordinaire ne peut séparer le vrai du faux, il suit la foule. Les grands prêtres de la secte prêchent avec les mots qui réconfortent les adeptes, ils répètent ad nauseam, liberté et démocratie en ayant bien soin de les relier aux produits et pratiques qu’ils endossent. Ils insisteront sur le fait que grâce à l’internet et aux téléphones cellulaires, des pays se sont libérés du joug de dictateurs. Évidemment les apparences du moment sont gonflés et prennent tant de place que le fond du problème reste occulté. L’outil de communication présenté comme moyen de libération est en même temps l’instrument de contrôle des masses que le pouvoir utilise pour démasquer les dissidents. Non seulement les gens se les procurent, ils paient ensuite des mensualités pour  utiliser ce qui les maintient prisonnier d’un système, paient le Juda qui les dénonce. Quel est le problème et d’où vient il ? IL n’y a que des imposteurs qui peuvent prétendre proposer la liberté et l’associer à ce qu’ils nomment démocratie.  Car pour ceux qui ont étudiés l’origine de cette pratique, la ville d’Athènes en Grèce en revendique la paternité.  IL faut savoir que sur 400,000 habitants à l’époque, soixante milles avaient droit de votes, que les femmes,  les pauvres les immigrés, les esclaves étaient exclus. Comme liberté d’expression et de choix nous avons déjà vu mieux. Ce qui commence par le mal se nourri ensuite par le mal et lorsque l’on contemple le tableau planétaire, une minorité de bien nantis contrôlent la majorité des ressources planétaires. Rien de véritablement changé depuis l’antiquité. Pour faire avaler la pilule amère, les grands de ce monde ont divisé la planète en pays distincts où disent ils tous ne sont pas démocratiques, ce qui explique, selon eux les iniquités. Pourtant pour l’OMC il ne semble pas exister de frontières lorsqu’il s’agit de puiser dans les ressources de ces pays. Malgré les dictatures, les affaires se font quand même et ce qui n’est pas révélé ou du moins pas de manière explicite, c’est le fait que ces dictatures  sont et ont été maintenues en place par ceux là même qui les condamnent. IL y a pire que le contrôle mental exercé au travers les médias électroniques et c’est la liberté de choix qui n’existe plus dans les enclos urbains où sont parqués une multitudes d’humains désormais conditionnés au point de ne plus avoir de racines. L’apparente liberté dont’ils croient bénéficier est limité à un éventail restreints de choix, tous contrôlés par la caste des marchands à la solde des grands prêtres de la secte.  Une des drogues amplement utilisée par la secte pour fidéliser ses membres est l’industrie du voyage qui a construit un réseau planétaire de destinations sécurisées d’où ont été chassés les autochtones . Pour ceux qui travaillent pour la secte, un parc d’attraction planétaire où en certains endroits des populations maintenues dans la misère par des dictatures subventionnés par la secte donnent aux voyageurs l’impression qu’ils détiennent un pouvoir de par la monnaie qu’ils reçoivent de leurs loyaux services.  Dans ces lieux, ceux des autochtones qui travaillent pour les hôtels et les services offerts en compléments des forfaits proposés, sont fragilisés au point de se comporter comme des esclaves face au tout puissant qui détient la monnaie. Pour le touriste qui abuse de son illusoire pouvoir il est facile de recruter des enfants ou de jeunes femmes pour assouvir ses bas instinct.  Une étude sur l’industrie du voyage aérien, dénombre environ à 80 millions par année,   ceux qui se rendent dans les pays pauvres comme étant des touristes en quête de relations sexuelles facilité par la situation difficile que ces populations vivent. Plusieurs autres moyens de propagandes sont utilisés, dont la télévision et le cinéma où des mises en scènes savamment réalisée se servent des instincts primaires de l’animal humain pour faire gober un mode de vie qui fait l’affaire des marchands à la solde des industriels subventionnés par les détenteurs de capitaux, les grands prêtres de la secte. Une majorité des adeptes de cette secte mondialisée ne se doutent même pas qu’ils en font partie, ils se croient privilégiés de vivre dans des pays qu’ils croient riches où ils pensent vivre librement. L’imposture y aura été développée jusqu’à un sommet,  le déguisement en est venu à ressembler à la réalité au point de confondre les masses. Les instincts de base de l’homme sont ciblés par les grand prêtres  pour fidéliser les masses. La nourriture, l’illusion du pouvoir, le sexe et le besoin d”être aimé. Tous ces instincts sont exacerbés dans une décor de carton pâte mis en place pour l’occasion dans les concentrations urbaines.  L’illusion est à son comble. Cette situation devait arriver et des sages de l’antiquité en avaient depuis longtemps prédit les grandes lignes. Dans certains écrits religieux de l’époque, dont l’ancien testament des chrétiens, il est fait mentions des cités de la débauche où la luxure et le gaspillage avait cours et où une catastrophe avait détruit la ville. Si l’on remonte dans le temps, une déluge serait venu punir les hommes qui ont désobéis aux règles des Dieux. Des histoires de déluges apparaissent d’ailleurs dans plusieurs cultures  Dans une traduction libre, je comprends que ces hommes auraient outrepassées des limites écologiques, qu’ils ont dépensées des ressources plus vite qu’elles ne se renouvelaient. Pour maintenir l’illusion de la prospérité des cités états de l’antiquité ont développée l’art de la guerre et les plus habiles sont arrivées à faire durer leurs prospérité fort longtemps en attaquant et pillant d’autres nations, réduisant en esclavage les vaincus et mettant en place dans les pays conquis des mercenaires pour exporter les ressources produites par une population captive. Aussi longtemps que les conquérants arrivaient à maintenir le joug sur ces colonies la cité mère était approvisionnée et pouvait continuer sa politique d’expansion jusqu’a en certaines occasions durant l’histoire humaine, ici et là sur la planète, se développer en Empire. Les buts recherchés par les pays modernes ne différent pas des buts de l’.époque et les méthodes ne sont pas moins violentes. Elles ne sont que différentes, la recherche du pouvoir et du profit restent les mêmes.
 

 

Déluge


Le signe de la bête


 

 
Ce signe est évoqué dans certains textes religieux comme désignant les damnés, ceux condamnés à finir leur existence en enfer. Dans une contexte plus terre à terre, que serait le signe de la bête ?  IL s’agit de l’argent, de la monnaie utilisée depuis des millénaires par des millions d’humains dans leurs échanges commerciaux. Dans l’histoire des forces occultes, la monnaie est l’arme ultime pour contrôler le peuple, issue des oeuvres de la secte opposé au culte de la grande Déesse. A la lumière de la situation actuelle en ce début du vingt et unième siècle après JC, le contrôle qu’exerce la monnaie sur la volonté des peuples est sans conteste  en apparence très efficace. Qu’en est il en réalité ? Tout subterfuge ne peut durer, pour qu’il se maintienne en place plus longtemps, des ressources énormes doivent finalement être consenties pour l’entretenir. Plus l’échéance de la faillite approche, plus les coûts consacré à la supercherie sont importants et c’est à ce moment que le peuple finit par se révolter. Les enseignements de la vision fractale, une branche de la vision  globale, permet d’observer ce mécanisme au sein d’un exemple localisé et dans ce cas de la faillite d’une supercherie, la maladie qui découle d’attitudes contre nature adoptée par un individu. Utiliser des drogues pour performer et gagner de la renommée, puis subir les contre coups d’atteintes organiques irréversibles. L’antagoniste de la renommée étant l’anonymat, plusieurs de ces ex vedettes se retrouvent oubliés et miséreux lorsque les signes qui les rendaient célèbres ont disparus.  Le mouroirs que sont les centres d’hébergements pour personnes âgées sont remplis d’individus qui à leur niveaux ont été performant en utilisant des artifices, qui en leur temps avaient autour d’eux des amis de circonstances attirés par les miettes qu’ils laissaient tomber, mais qui désormais ne sont que  des souvenirs dans la tête de ces oubliés anonymes qu’ils sont désormais. Au début, tout semble facile, l’argent coule à flot et semble tout permettre, amour comme abondance, santé et renommée. Cette arme diabolique en ce qu’elle trompe par le côté spectaculaire des apparences qu’elle met en scène. Une arme à double tranchant tout de même, mais qui malgré ce côté évidement occulté par ceux qui en font la promotion, continue de tromper les masses. La supercherie ne s’appuie évidemment pas que sur la force hypnotique que la monnaie exerce sur la grande majorité des hommes, elle se sert habilement du talon d’Achille de l’homme hybride, son inconscience. Bien que je puisse expliquer l’origine de l’inconscience, cette explication sera balayée du revers de la main par plusieurs parce que pour comprendre il faut adopter un schéma de pensée différent de celui qui réside dans le mental programmé de la plupart des habitants des pays dits développés. Je suis tenté ici de changer cette appellation de pays développés par pays programmés en ce que c’est au sein de ces pays que se trouvent la plus forte proportion d’humains conditionnés par la secte des sorciers noirs, que j’ai nommé secte des Caïnés pour différentes raisons, dont la principale , ce sont les descendants de Caïn. La mise en scène à été habilement pensée, les lieux où la monnaie peut être utilisée regorgent de produits et services qui ont l’apparence d’être indispensables. Certains ont utilisé le terme Waltdysneyalisation du monde pour dépeindre la mise en place de décors, de lieux en apparence paradisiaque où les détenteurs de monnaie peuvent s’ébattre en tout quiétude. La plupart de ceux qui y séjournent, sont accaparés par un horaire serré où les activités ludiques succèdent aux repas orgiaques, ils n’ont pas le temps de se promener aux confins de ces décors, là où se tiennent en permanence des mercenaires armés qui font le guets près des remparts aux barbelés acérés qui visent à empêcher les indigènes d’accéder aux lieux qui autrefois était leur demeure et leur territoire de pêche, de chasse et de cueillette. Chassés de leurs terres, ils errent désormais dans les dépotoirs et fouillent les poubelles dans l’espoir de survivre et nourrir leur famille. En inventant la monnaie et en forçant son implantation, les Caïnés et leur sectateurs préparaient ce qui allait devenir la mondialisation, la mainmise sur les ressources planétaires pour leur permettre de mettre en place les infrastructures de leur ultime refuge. Séparant le geste de sa responsabilité, la monnaie est la drogue de l’inconscience. Les consommateurs au bout de la chaîne des nombreuses conséquences ne voit pas l’origine, les supermarchés regorgent de produits sans que le sang, la souffrance, la misère ne transparaisse de l’atmosphère feutrée des ces temples modernes de la consommation.  Pour maintenir la domination, les Caïnés ont transformé le milieu en un propagateur permanent d’implants mentaux et émotifs qui anesthésie les habitants pour les maintenir dans une léthargie incapacitante. Pour le sage ayant atteint les degrés supérieurs de la vision globale, les symptômes se discernent aisément chez les gens soumis à cette incessante suggestion.  La majorité des hommes issus des pays programmés par le système d’hypnose de masse appelé éducatif croient pourtant que cette connaissance implantée en eux par la ruse est une chance et que grâce à elle ils bénéficient d’un niveau de vie décent. Les failles de cette programmation contre nature se voient clairement lorsque ces gens se font mettre en face de contradictions flagrantes et imparables qui sont nombreuses dans la logique boiteuse qui leur sert de justification. Comme un disque rayé qui répète la même séquence, ils en viennent à dérailler dans leurs arguments, en arrivent vite à la colère pour finalement refuser carrément le dialogue. Pour ceux qui peuvent comprendre la vision fractale, j’offre l’image du corps et du cerveau. Le cerveau contrôle le corps et ce dernier comprend une multitudes de cellules qui n’ont pas à prime abord une conscience propre, cette conscience est embryonnaire elle est le fait des échanges qui se font ou pas entre eux et l’organisme. Ils réagissent donc par le fait qu’elles reçoivent ou pas ce qui leur permet de vivre.  Ainsi le peuple fonctionne avec son coeur pas avec sa tête, d’où le contrôle que peut exercer le cerveau sur le corps, les dirigeants sur le peuple. L’arme à deux tranchants dont j’ai parlé au début, est ce qui vient trancher les abus des gouvernants lorsque le corps social incapable de vivre sainement, se révolte et cause la maladie, le chaos qui s’ensuit. Le peuple, tout comme les cellules du corps ne sont pas en mesure de gouverner et la révolution qui chasse les gouvernants du pouvoir est comme un accidenté qui perd l’usage de son cerveau. Les humains hybride qui font usage de tranquillisants et de drogues de toutes sortes pour être en mesure de fonctionner dans un environnement aussi dénaturé que les milieux urbains, ne font que réagir à l’impossible mariage de l’homme avec le mirage artificiel mis en place pour le contrôler.  Que certains aient utilisés les enseignements de la science naturelle pour acquérir des pouvoirs sur l’humanité ne fait aucun doute. Ce qui parait le plus invraisemblable, c’est que ce contrôle a été initié sur Terre il y a plusieurs millénaires.
 

 
Mise en scène, subterfuge, ruse, mensonge, conditionnement subliminal, dépendance, drogue, sont amplement employés

 
 

Moyens d’actions et illusions
 
Comme expliqué ci-haut, l’illusion est à son comble et les moyens d’actions utilisés par la plupart des objecteurs tout autant illusoires. Manifestations, journaux et publications, ONG et organismes de défense de la nature et des opprimés, font malgré eux le jeu des oppresseurs. L’image est celle d’une révolte fomentée en prison, elle ne peut s’étendre de ce fait au delà des murs de celle-ci, à moins de bénéficier de l’appui de ceux qui contrôle les murs et les portes. Même dans ce cas, il faut se méfier des mouchards que sont les micro processeurs modernes, implantés même à l’insu de ceux qui les portent. Je ne vais pas décrire toutes les méthodes, mais je souligne toutefois le caractère insidieux de la programmation subie depuis la plus tendre enfance par les Hybrides dans les prisons sans murs apparents que sont les villes modernes. Ceux qui sont à même d’en comprendre la portée sont aussi à même de se rendre compte de l’inutilité d’agir dans la périphérie, là où justement les Caïnés peuvent facilement exercer leur contrôle. Cette incessante ardeur à divertir l’attention du peuple à l’extérieur du véritable champ d’action où ils seraient vraiment efficace, est l’outil majeur des Caïnés pour exercer en toute quiétude leur contrôle sur les rebelles.  Comme expliqué, cet outil est implanté dans l’esprit des jeunes enfants par le système d’éducation savamment présenté comme responsable de l’obtention d’une position respectable et nécessaire à une vie heureuse. Bien qu’il est logiquement aisé de réfuter toutes les thèses soutenues par les éminents scientifiques cités comme référence à la légitimité de ce système factice, cela ne pourra qu’être balayé du revers de la main par une majorité de gens trop profondément conditionnés pour être en mesure de réagir. Oui ils voient que tout est faux, mais ils n’ont plus la force ou la volonté de réagir. Le peuple est ainsi comparable à un consommateur de drogues qui ne peut plus s’en passer.  La seule avenue est remplie des obstacles mis en place pour en empêcher l’accès. Ceux qui malgré tout les contournent sont soit aidés pour le faire ou bien prédestinés à s’y rendre. Comme je l’ai mentionné déjà, cette unique avenue est le seul moyen d’action réellement efficace pour atteindre la source et de là diriger tout débit ailleurs, l’action individuelle, les trois degrés de l’initiation  Le mental, le corps et la nature, les rapports que l’on entretien avec eux.  Bien que très simple, puisque la voie s’adresse à soi même et qu’il ne s’agit que d’adopter un mode de vie en conséquence de se débarrasser des dépendances, il est paradoxal et troublant de constater qu’il semble plus simple de se rendre dans des pays lointains qu’en soi-même. Voilà le paradoxe qui met en lumière les énormes moyens mis en branle par les Caïnés pour divertir le peuple de son pouvoir véritable. Des sommes colossales sont ainsi investies dans tout ce qui sépare l’homme de ces trois aspects, les médias écrits et électronique, l’industrie médicale et pharmaceutique et les infrastructures qui permettent l’illusion d’un ailleurs artificiel accessible au détriment d’une indépendance locale.
 
 

Le Bouc émissaire

Qui se dit d’une personne sur qui la responsabilité d’un acte répréhensible retombe, pour masquer les véritables responsables. C’est pas moi c’est lui. Vous aurez probablement fait ce constat lors de bien des événements du passé et plus récents et quant à moi je prend conscience de l’ampleur que le phénomène atteint de nos jours et suis étonné du peu de cas qu’en font les gens. Étonné mais pas surpris, connaissant la force des médias et le rôle de diversion qu’ils tiennent. IL est question ici de la crise économique mondiale, de l’impunité relative de ceux qui l’ont provoquée, je pense aux courtiers, ces joueurs compulsifs dans les mains desquels des trillions de dollars se sont récemment volatilisés. Bien que nous les savons responsables en fin de ligne des pertes, ils ne peuvent être blâmés ou mis à l’amende car ils sont en fin du compte incapable de rembourser les sommes qui par leur entremise sont disparues dans un monde virtuel. Ce sont de simples commissionnaires, des bouc émissaires. Certains disent que l’administration précédente qui aura dé-réglementé le secteur financier est le responsable. Notre cher système capitaliste est très fort pour dévier l’attention des gens sur le paraître, pour faire croire en un simili système juridique qui est comme tout le reste du château de cartes, une illusion savamment orchestrée. IL y a longtemps, si ce n’est au tout début, que les pères fondateurs de la démocratie capitaliste savent que le système qu’ils allait et ont mis en place était voué à la faillite. De temps à autre, faire disparaître des sommes importantes dans les épargnes du peuple industrieux ce n’est que simple routine. IL faut donc réduire les sommes en circulation, parce qu’il est impossible de rembourser ce qui n’existe pas. Tout ce système étant purement spéculatif, passé un certains niveau, les ressources ne suffisent pas à respecter les engagements pris. Lorsque la soupe devient trop chaude que le pauvre peuple se doute de quelque chose, des fonds sont débloqués pour braquer encore plus de projecteurs sur le paraître. Des boucs émissaires maquillés outrageusement pour avoir l’air piteux et coupables sont alors traînés en cour dans des procès hyper médiatisés. Tout les médias alors en font leur manchettes, apprêtant à diverses sauces la même indignation d’un pouvoir qui feint l’innocent. Le but de toute cette mascarade étant évidemment de se préparer une retraite dorée, loin du peuple naïf et enchaîné à des tâches qui participent, en fait, à l’érection de la citadelle aux remparts imprenables, d’une clique de finfinots opportunistes. Pensons que derrière toute cette mascarade, certains sont initiés des techniques pour hypnotiser et abuser d’une humanité dénaturée, l’homme hybride et domestiqué de ce qui était autrefois le fier et libre indigène. Cela étant une connaissance acquise par des millénaires de travaux pratiques qu’ont été les guerres, génocides, colonies, esclavage et autres études appliquées. Ce qui permet un telle analyse est évidemment la situation actuelle où la même chose est en cours, où plus ou moins 20% de privilégiés consomment 80% des ressources planétaires. IL est facile de prévoir que ce 20% pourrait et va se réduire bientôt à peut être 1% et moins, parce que la place manque dans les endroits déjà construits et en cours d’aménagements et que comme pour les industrie qui licencient les travailleurs pour les remplacer par une chaîne de montage robotisée, les cités technologique qu’ils construisent n’auront besoin que d’une minorité d’opérateurs. Les autres n’auront qu’a se débrouiller dans un no mans land rendu intoxiqué par la surconsommation. La majorité de ce qui restera de l’Humanité après la catastrophe écologique imminente, seront des hordes de morts vivants cannibales de ce qui était autrefois des citadins.  Pour se faire une idée de la situation a venir, voyez comment Israël se défend contre les tire pois du Hamas et vous aurez une idée du genre de riposte qui attend ceux qui tenteront d’investir les cités fortifiées. Tout ce qui sera fait d’ici à ce que la catastrophe se produise ne sera que cosmétique, du maquillage épais et parfumé sur le cadavre d’un système déjà mort et en putréfaction. Ce tableau d’avenir vous réjouit ? Probablement pas et vous êtes tentés de le qualifier d’imaginaire n’est ce pas ? Pourtant c’est ce qui se passe présentement et qui s’est passé depuis des siècles tout au long de l’histoire humaine lorsque des riches ont tentés de s’accumuler des ressources au détriment du peuple, pour passer au travers de périodes difficiles. Sauf que de nos jours, il s’agit de se protéger d’une crise majeure qui, croient ils, nécessite des moyens énormes pour passer au travers. Saviez vous par exemple, que les gadgets électronique qui font l’amusement du peuple, sont des technologies désuètes dont la production et la mise en marché est rendue nécessaire pour rendre crédible le besoin de construire les usines qui leur servent à mettre au point la technologie de pointe qu’ils ont besoin et qu’ils utiliseront exclusivement ? Cela se résume à donner une fraction du gâteau au peuple et garder la grosse part pour eux, donner un bâton et garder la mitraillette. La technologie qui est laissée au peuple est une fin de ligne rendue désuète par les nouvelles armes et moyens mis au point et qu’il ne partageront pas. Pourquoi ? parce que ces moyens et armes coûtent une fortune en temps et en ressources, que leur mise au point et production est injustifiable dans un contexte de partage équitable et que ces armes rendront facile le contrôle des révoltés armés de tir pois. Pour faire travailler le peuple, il faut donc le maintenir dans l’ignorance de ce qui est fait, par ceux qui derrière toute la mise en scène en sont les architectes. Je sait que ce tableau des événements peut et sera par plusieurs relégué dans la section ou sont entassés la multitude de ce que plusieurs nomment les théories du complot, là ou sont contenues pèle  mêle les plus farfelues et les plus crédibles. les premières très médiatisées les autres enfouies loin du regard. Tous comme les déchets et l’état de la planète d’ailleurs. Pourtant le tableau que je brosse est des plus réaliste parce que cette situation existe déjà, qu’elle est la reproduction des rapports entre les riches et les miséreux sur Terre.
La cité technologiques ce sont nos pays riches qui ne partagent pas et ne partageront jamais leurs avantages sur la majorité qu’ils tiennent par les couilles. Pourquoi croyez vous que l’espionnage existe ? Parce que les riches partagent leurs connaissances ? Vous remarquerez que les seules connaissances qu’ils partagent sont celles qui rendent le peuple dépendant, les autres ils les gardent pour eux.


 
 

 

 

Le choix
 
Bien que la situation prend des ampleurs qui semblent démesurées, plus ça change plus c’est pareil. Deux chemins se dessinent et l’humanité aura le choix de s’engager sur l’un ou l’autre. D’un côté le chemin de la cité fortifiée où une minorité pourront se protéger et de l’autre le chemin ouvert à tous qui n’offre en apparence aucune protection. Lequel de ces chemins êtes vous tentés de choisir, sachant que malgré les places limitées vous êtes un des élus privilégiés ? Le chemin ouvert à tous est un retour à l’âge de pierre en transitant par une période où les ressources restantes seront réutilisées recyclées tant bien que mal, sans l’aide de tout ce qui rendait la vie facile auparavant. Plus de gadgets électronique, plus d’électricité, d’automobiles, de téléphones, de super marchés, de médicaments d’hôpitaux, de services sociaux, le tiers monde quoi.  Vous êtes portés à choisir le chemin menant à la sécurité apparente de la citadelle technologique fortifiée ? Étiez vous un amateur de Star Trek et des films et livres de science fiction aux héros qui utilisaient des armes au laser et qui voyagent de planètes en planètes dans leur vaisseaux spatial ? Ou bien êtes vous du style seigneur des anneaux, où des magiciens et des sorciers s’affrontaient dans des univers fantastiques au sein d’une nature abondante peuplée de gnomes et de paysans habitants des hameaux chaleureux. Dans ce dernier cas vous choisirez peut être le chemin raboteux où tous sont admis et entreprendrez le voyage initiatique de votre existence terrestre, celui qui vous mènera dans les sphères inexplorées d’un univers insoupçonné. Mais vous devez savoir qu’avant d’arriver au royaume vous aurez à traverser la forêt sinistre et remplie de monstres hideux et sanguinaires, que l’initiation commence par la traversée de ce chaos d’où personne n’est assuré de traverser où peu s’en sortent vivants.

L’initiation.

L’univers a vu et verra le scénario qui se déroule présentement sur Terre avoir lieu. Les choix qui s’offrent à l’homme sont aussi les mêmes choix qui ont été offerts à d’autres par le passé et  sous d’autres cieux. Il s’agit du choix de l’ego, de l’individu qui se croit capable de contrecarrer le destin par ses propres moyens et ceux d’une minorité de privilégiés ou du choix contraire de celui qui décide de suivre le chemin où tous sont conviés avec la vision du partage des moyens disponibles.  La sagesse des anciens encourage cette dernière voie, tout en soulignant les difficultés qui surgiront dès le départ du périple. Un chemin inégal, parsemé d’obstacles, dans un climat hostile avec peu de moyens disponibles pour se protéger.  L’initiation contient les moyens que sont les attitudes qu’il faut adopter pour passer au travers, mais aussi et surtout la révélation de la vérité sur la vie et la mort. Cette connaissance à été transmise oralement depuis la nuit des temps et ensuite consignée dans des livres lorsque l’homme s’est mis à écrire. Dans ce dernier cas, la plupart des ouvrages traitant de cette science auront été brûlés par un pouvoir dérangé par la liberté que ce savoir conférait au peuple. Pour l’asservir, il fallait lui faire croire à la fin de tout après la mort, alors que la mort est comme le rêve et le rêveur qui s’éveille après une nuit de sommeil.  Ce pouvoir illégitime ne pouvait et n’a pu cacher la vérité, toujours elle ressurgissait ailleurs, infusée dans l’imaginaire de ceux qui regardent à l’intérieur d’eux mêmes.
Tous ces révolutionnaires exécutés par le pouvoir de l’époque qu’ils dérangeait,  sont comme pour la vérité, revenus en d’autres temps poursuivre leurs oeuvres d’éveil des consciences d’un peuple maintenu dans l’ignorance. Les tendances se concrétisent, les deux chemins se dessinent et la marche est entreprise dans l’un ou l’autre selon ce que le coeur dicte comme choix.
Le chemin qui mène au royaume doit être parcourut sans hâte, avec humilité et persévérance. Tout arrive à point à qui sait attendre le bon moment, les collaborateurs, les compagnons de route s’assemblent par les affinités intimes qu’ils partagent autour d’une même quête mue par un but cosmique et altruiste. L’un deux est le grand homme, celui qu’il faut suivre et qui nous protégera, tant que l’humilité et la confiance régnera. Ensemble vous serez forts, mais toujours retraiterez devant l’agression, toujours contournerez les obstacles par la ligne de moindre résistance. Votre force sera intérieure, la flamme inextinguible de la foi en votre but. En toute circonstances elle vous éclairera alors, sans jamais faillir. Si acculé au mur vous devez vous défendre, vous le ferez avec tristesse, jamais avec arrogance.  Devant l’agression, toujours retraiter. Pour le moindre mal il faut toujours plier. Pour vaincre il faut être doux mais ferme dans ses convictions, persévérant dans la marche en avant.  Sur le chemin des rencontres fortuites, des hommes vulgaires, ne pas les nourrir se faire invisible, sans jamais renier ses valeurs. Chercher et rejoindre les hommes nobles, ceux qui partagent sans retenue mais aussi sans ostentation. Réduire ses passions et désirs, rejoindre la zone de l’essentiel dans tous les aspects de la vie, c’est s’assurer de ne jamais manquer de ce qu’il faut pour avancer. Ne pas se montrer, c’est de ne jamais chercher à paraître pour susciter l’envie ou les passions, le but étant d’arriver à bon port, de traverser la zone dévastée..   .
Pour ceux que le chemine difficile intéresse, je précise ici pourquoi il est le bon choix.  L’histoire de l’humanité est jonché des cadavres de ceux qui ont suivis les ambitieux, ces conquérants charismatique qui titillaient les passions au point de faire taire une raison pourtant léguée par des ancêtres qui après avoir soufferts ont voulu laisser des indications à leurs descendants pour qu’ils puissent cheminer en paix dans le périple de leur vies Ces séducteurs étaient aussi en possession d’une science ancienne, mais utilisée cette fois pour des besoins égoïstes.  Ils ont en effet donnés aux peuples rassemblées par la force de leurs discours et la persuasion de leurs méthodes violentes, l’illusion de la richesse et de la gloire. Durant des périodes, somme toute assez courte, ces peuples on bénéficié de conditions exceptionnelles durant lesquelles ils ont développés des cultures aux réalisations imposantes. Après cette brève période glorieuse, tous ces empires ont déclinés et le peuple a souffert de situations environnementales où le milieu était désormais incapable de les faire vivre. Autrement dit, ils avaient durant la période d’abondance vidé le sol de ses réserves au point de rendre le milieu désertique, et quelquefois intoxiqué. Car comme à ces époques lointaines nous faisons durer l’illusion en important de contrées lointaines ce qui est nécessaire au peuple dans nos pays riches et développés. Bien que l’arrivée des énergies fossiles ait retardée l’échéance du chaos annoncé, le manque de préparation du peuple n’en sera qu’augmenté, la débandade encore plus sévère.  IL n’y aura pas de solutions pour contrer  la réalité du désert que nous créons de par notre surconsommation.  J’ai déjà expliqué comment un désert est, de par sa nature, insensible aux remèdes en donnant l’exemple du pot qui contient une plante que l’on oublie d’arroser au point où la terre devient sèche. L’eau que l’on y met se retrouve tout en bas dans le sous pot sans humecter le sol. Le désert et son sol stérile ne peut retenir la vie et les moyens mis en branle pour y arriver dépassent toujours ce qu’il est possible d’y récolter.  Certains diront que des cultures se font pourtant dans les déserts et que des pays exportent même des aliments Ces pays tirent ailleurs et toujours en privant d’autres êtres des ressources nécessaires pour le faire. Les aliments qu’ils exportent sont des spécialité prisés par les pays riches, non pas pour la qualité mais pour l’apparence qu’ils entretiennent. Tout y est calcul du profit le plus important sans tenir compte de l’impact réel sur tous les aspects de la vie.  Mais voilà où le bât blesse, ces évidences ne peuvent être comprise par le peuple qui continue d’être influencé par les ruses qu’utilisent ces savants personnages. IL est loin de mon intention de les combattre, tout comme l’astronome qui marchait tout en observant le ciel de sa lunette, ils tomberont dans le trou de leur inconscience. La seule chose que je crois utile c’est de mettre en évidence le moyen de quitter les apparences pour rejoindre la réalité
tout en aidant mes semblables qui prennent conscience du cul de sac où mène  l’illusion qu’ils brandissent comme vérité.

Le chemin difficile est le bon, le facile est le mieux. Le mieux étant l’ennemi du bien il faut qu’ils se séparent et c’est précisément la proposition qui est faite. D’un côté, une humanité qui ne veut pas des bénéfices issus d’un vol perpétré par certains au détriment des autres, au point de leur refuser le minimum vital.
Ces hommes accepteront d’être souverain de leurs corps tout en adoptant un mode de vie pour le maintenir en santé. Une vie frugale et saine , qui évite les excès, pour une existence harmonieuse et équilibrée.  Cela implique l’abandon de la modernité et de sa technologie désincarnée de réalités locale, des capacités individuelles. Dans un monde où tout entraîne dans la direction opposée, ces choix semblent pour plusieurs impossibles à faire et dans les pays riches et développés la difficulté est pour leurs habitants proportionnelle à la facilité qu’ ils croient posséder.  C’est là que l’on est en mesure de comprendre la phrase qui dit que pour tout avantage il y à un désavantage. Parmi ces peuples en apparence privilégiés, il y en à qui ont sût rester simples en ne consommant pas outre mesure malgré les possibilités. Ceux là pourront partir sans grande peines.

Les derniers seront les premiers disait Jésus en citant la sagesse des anciens.
IL parlait pour tous les pauvres de la Terre, pour les encourager dans la modération et les rassurer quant aux tentatives de la secte de les entraîner dans  un désert sans ressources.