La secte la plus puissante et méconnue de toute l'histoire humaine est celle qui a imposé la monnaie et le système financier |
Un sujet à la mode récupéré par des journalistes en mal de sujets où l’anecdote est grossie au point de cacher la réalité. Nous avons ici au Québec notre gourou maléfique que l’on ressort du placard de temps à autre pour divertir l’attention des lecteurs et auditeurs des médias au service de l’industrie. IL s’est fait nommé Moïse et aura entraîné plusieurs adeptes dans ce qui est devenu un cauchemar pour une bonne partie d’entre eux. IL n’est pas le seul, d’autres liés à différents mouvements auront aussi de temps à autre entraînés leurs adeptes dans des souffrances, histoires qui ont été elles aussi récupérées et gonflées par les médias. Si nous faisons la somme des victimes de ces supposés monstres, nous constatons qu’ils sont bien moins nombreux que les victimes d’une autre religion, qui, celle là , n’est pas considérée comme étant à la base d’un mouvement sectaire. Pourtant les victimes se comptent par milliards et la secte étend ses tentacules sur l’ensemble de la planète. Cette religion se nomme le consumérisme et ses adeptes sont entraînés par des techniques de lavage de cerveau à consommer des objets et produits inutiles et surtout intoxicants pour eux et leur environnement. Vous rigolez ? vous ne prenez pas au sérieux ces affirmations ? C’est que vous êtes atteints, que votre jugement est conditionné par un lavage de cerveau qui dans plusieurs cas aura commencé durant l’enfance.
Le gigantisme et le spectaculaire des monuments et temples était et est encore de nos jours le moyen d'éblouir le peuple, d'évavcuer l'incapacité des gouvernements de livrer le minimum vital pour tous.
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Les grands empires du passé faisaient table rase des dieux et croyances des nations qu'ils envahissaient et soumettaient, les remplacant part leurs propres dieux et croyances, ceux qui incluaient les dirigeants et officiants dans le panthéon des divinités. Nous réalisons que le modèle démocratique proposé par les grandes puissances acoquinées autour d'une organisation des nations, est souvent imposé, comme par le passé, cette fois par des montages financiers qui les obligent à y adhérer.
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Pourrions nous établir un lien entre le début des premières cités et l’apparition du mensonge ? Nous retrouvons une similitude entre le mythe Perse et Phénicien que relate Sanchoniaton, les traits communs étant la ruse et le mensonge qui sont utilisés pour tromper les homme Que cette ruse et ces mensonges aient été nécessaire pour entraîner les premiers hommes à joindre les premières grandes agglomérations et de s’engager dans le système politique en place c’est très probable. IL est possible de voir, au sein de la nature, l’origine de la ruse et elle ne sert là qu’a se procurer des proies pour le prédateur qui l’utilise. L’homme est encore au fond de lui un animal et la ruse est plus ou moins présente dans ses relations avec les autres. Le mâle alpha n’utilise pas que la violence pour maintenir son pouvoir, il utilise la ruse en évoquant la possibilité qu’il pourrait être violent si ses grognements et mimiques ne suffisaient pas pour faire entendre raison à ceux qui remette en question sa position. Les méthodes du début, les guerres, les génocides, la violence et la torture, bien qu’encore utilisés en certains endroits, ont été remplacé par un contrôle plus insidieux mais combien efficace, qui s’adresse au mental par l’intermédiaire de la technologie adaptée aux moyens de communications. Pour toutes études démontrant le caractère hypnotique de la propagande, des contre études endossés par des personnes influentes, grassement payées, disent le contraire. Devant une multitude de rapports contradictoires, le citoyen ordinaire ne peut séparer le vrai du faux, il suit la foule. Les grands prêtres de la secte prêchent avec les mots qui réconfortent les adeptes, ils répètent ad nauseam, liberté et démocratie en ayant bien soin de les relier aux produits et pratiques qu’ils endossent. Ils insisteront sur le fait que grâce à l’internet et aux téléphones cellulaires, des pays se sont libérés du joug de dictateurs. Évidemment les apparences du moment sont gonflés et prennent tant de place que le fond du problème reste occulté. L’outil de communication présenté comme moyen de libération est en même temps l’instrument de contrôle des masses que le pouvoir utilise pour démasquer les dissidents. Non seulement les gens se les procurent, ils paient ensuite des mensualités pour utiliser ce qui les maintient prisonnier d’un système, paient le Juda qui les dénonce. Quel est le problème et d’où vient il ? IL n’y a que des imposteurs qui peuvent prétendre proposer la liberté et l’associer à ce qu’ils nomment démocratie. Car pour ceux qui ont étudiés l’origine de cette pratique, la ville d’Athènes en Grèce en revendique la paternité. IL faut savoir que sur 400,000 habitants à l’époque, soixante milles avaient droit de votes, que les femmes, les pauvres les immigrés, les esclaves étaient exclus. Comme liberté d’expression et de choix nous avons déjà vu mieux. Ce qui commence par le mal se nourri ensuite par le mal et lorsque l’on contemple le tableau planétaire, une minorité de bien nantis contrôlent la majorité des ressources planétaires. Rien de véritablement changé depuis l’antiquité. Pour faire avaler la pilule amère, les grands de ce monde ont divisé la planète en pays distincts où disent ils tous ne sont pas démocratiques, ce qui explique, selon eux les iniquités. Pourtant pour l’OMC il ne semble pas exister de frontières lorsqu’il s’agit de puiser dans les ressources de ces pays. Malgré les dictatures, les affaires se font quand même et ce qui n’est pas révélé ou du moins pas de manière explicite, c’est le fait que ces dictatures sont et ont été maintenues en place par ceux là même qui les condamnent. IL y a pire que le contrôle mental exercé au travers les médias électroniques et c’est la liberté de choix qui n’existe plus dans les enclos urbains où sont parqués une multitudes d’humains désormais conditionnés au point de ne plus avoir de racines. L’apparente liberté dont’ils croient bénéficier est limité à un éventail restreints de choix, tous contrôlés par la caste des marchands à la solde des grands prêtres de la secte. Une des drogues amplement utilisée par la secte pour fidéliser ses membres est l’industrie du voyage qui a construit un réseau planétaire de destinations sécurisées d’où ont été chassés les autochtones . Pour ceux qui travaillent pour la secte, un parc d’attraction planétaire où en certains endroits des populations maintenues dans la misère par des dictatures subventionnés par la secte donnent aux voyageurs l’impression qu’ils détiennent un pouvoir de par la monnaie qu’ils reçoivent de leurs loyaux services. Dans ces lieux, ceux des autochtones qui travaillent pour les hôtels et les services offerts en compléments des forfaits proposés, sont fragilisés au point de se comporter comme des esclaves face au tout puissant qui détient la monnaie. Pour le touriste qui abuse de son illusoire pouvoir il est facile de recruter des enfants ou de jeunes femmes pour assouvir ses bas instinct. Une étude sur l’industrie du voyage aérien, dénombre environ à 80 millions par année, ceux qui se rendent dans les pays pauvres comme étant des touristes en quête de relations sexuelles facilité par la situation difficile que ces populations vivent. Plusieurs autres moyens de propagandes sont utilisés, dont la télévision et le cinéma où des mises en scènes savamment réalisée se servent des instincts primaires de l’animal humain pour faire gober un mode de vie qui fait l’affaire des marchands à la solde des industriels subventionnés par les détenteurs de capitaux, les grands prêtres de la secte. Une majorité des adeptes de cette secte mondialisée ne se doutent même pas qu’ils en font partie, ils se croient privilégiés de vivre dans des pays qu’ils croient riches où ils pensent vivre librement. L’imposture y aura été développée jusqu’à un sommet, le déguisement en est venu à ressembler à la réalité au point de confondre les masses. Les instincts de base de l’homme sont ciblés par les grand prêtres pour fidéliser les masses. La nourriture, l’illusion du pouvoir, le sexe et le besoin d”être aimé. Tous ces instincts sont exacerbés dans une décor de carton pâte mis en place pour l’occasion dans les concentrations urbaines. L’illusion est à son comble. Cette situation devait arriver et des sages de l’antiquité en avaient depuis longtemps prédit les grandes lignes. Dans certains écrits religieux de l’époque, dont l’ancien testament des chrétiens, il est fait mentions des cités de la débauche où la luxure et le gaspillage avait cours et où une catastrophe avait détruit la ville. Si l’on remonte dans le temps, une déluge serait venu punir les hommes qui ont désobéis aux règles des Dieux. Des histoires de déluges apparaissent d’ailleurs dans plusieurs cultures Dans une traduction libre, je comprends que ces hommes auraient outrepassées des limites écologiques, qu’ils ont dépensées des ressources plus vite qu’elles ne se renouvelaient. Pour maintenir l’illusion de la prospérité des cités états de l’antiquité ont développée l’art de la guerre et les plus habiles sont arrivées à faire durer leurs prospérité fort longtemps en attaquant et pillant d’autres nations, réduisant en esclavage les vaincus et mettant en place dans les pays conquis des mercenaires pour exporter les ressources produites par une population captive. Aussi longtemps que les conquérants arrivaient à maintenir le joug sur ces colonies la cité mère était approvisionnée et pouvait continuer sa politique d’expansion jusqu’a en certaines occasions durant l’histoire humaine, ici et là sur la planète, se développer en Empire. Les buts recherchés par les pays modernes ne différent pas des buts de l’.époque et les méthodes ne sont pas moins violentes. Elles ne sont que différentes, la recherche du pouvoir et du profit restent les mêmes.
Déluge |
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Moyens d’actions et illusions
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Le choix
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